Les opportunités offertes par le numérique sont nombreuses, que ce soit pour rechercher de l’information, communiquer ou contrôler à distance son domicile grâce à la domotique. En parallèle, la numérisation de la plupart des actes de notre vie courante (relations avec l’administration, avec les entreprises) rend le numérique incontournable sous peine d’exclusion des non utilisateurs.


Mais le numérique, ce sont également des risques pour un consommateur qui n’est pas toujours bien protégé. Les victimes de cyber-malveillance peuvent ainsi se retrouver confrontées à de très mauvaises surprises : un virus qui détruit les fichiers ou aspire des données, un écran d’ordinateur bloqué ou des fichiers effacés contre une demande de rançon, des fenêtres publicitaires qui s’ouvrent de façon intempestive, etc. Ordinateur, téléphone, tablette, comptes en ligne (réseaux sociaux, etc.) de nombreux supports peuvent être concernés.


Testé sur la région des Hauts-de-France depuis juin 2017, le site Cybermalveillance.gouv.fr évolue. Il concerne aujourd’hui tout le territoire. La CLCV s’implique depuis longtemps sur ces questions du numérique. C’est donc tout naturellement qu’elle a participé à ce projet.


Attention ! Gardez en tête que sur internet rien ne vaut la prévention. La prévention est le leitmotiv de de Cybermalveillance.gouv.fr. Vous y trouverez des vidéos détaillant les risques de malveillance sur Internet, des fiches pratiques et de précieux conseils.


Besoin d’aide ? Le site propose une liste de prestataires en informatique, signataires de la charte cybermalveillance, près de chez vous. Attention, signataire de la charte ne signifie pas qu’ils ont été agréés par Cybermalveillance.gouv.fr. Lorsque vous faites appel à l’un de ces professionnels il est indispensable de demander des devis pour connaître le coût d’une intervention avant de s’engager.


Retrouvez nos conseils pour surfer sans danger en cliquant sur ici 

83 % des incidents de cybermalveillance sont déclarés par tous les publics comme des virus
44 % des incidents déclarés « virus » correspondent à des attaques de type rançongiciel.